Nouvelle fiction
Voilà donc une nouvelle fiction. Elle n'est pas écrite entièrement car je ne savais pas si j'allais la continuer. N'ayant aucun projet d'écriture pour le moment, je vais me consacrer à elle. Si vous avez l'habitude d eme lire, vous verrez qu'il y a deux-trois trucs qui changent dans le style. Je ne sais pas trop comment l'expliquer.
A l'heure qu'il est, le prologue et els 3 premiers chapitres sont écrits et comme vous me connaissez, vous savez que les chapitres sont courts.
Je ne mettrais pas tous les chapitres à la suite. Et je vais aller les mettre aussi sur fictionpress.
Bonne lecture. Voici donc le prologue.
A l'heure qu'il est, le prologue et els 3 premiers chapitres sont écrits et comme vous me connaissez, vous savez que les chapitres sont courts.
Je ne mettrais pas tous les chapitres à la suite. Et je vais aller les mettre aussi sur fictionpress.
Bonne lecture. Voici donc le prologue.
VISIONS
J’ai eu un accident il n’y a pas longtemps. Depuis ceci, je peux voir les âmes, les fantômes et les anges…
PROLOGUE
C’était un matin pluvieux, je devais partir pour mon école, comme tous les matins. Le bus devait nous emmener comme à chaque fois, au parking du lycée. Le problème est que cette fois-ci, notre destination finale ne fut pas notre établissement mais le fond d’un ravin.
Malgré les années de conduite, le chauffeur ne put retenir son bus sur la route glissante. Je me rappelle encore et j’entends encore les cris horrifiés que nous avons tous poussés lorsque nous avons senti que le véhicule glissait et se dirigeait avec force vers le trou bordé d’herbes.
Je fermai les yeux, attendant la fin. Il y eut un grand bruit et nous tombions, tête la première dans le petit gouffre. Le verre cassé nous recouvrait, nous ne devions pas trop bouger pour ne pas nous couper. Je me souviens de l’atmosphère…
Il n’y avait pas un bruit. Ni la pluie, ni les cris ni même des respirations ne se faisaient entendre. J’avais l’impression que tout était mort. Je me savais en vie mais dans quel état ? Le sang coulait sur mon visage.
Je devais ouvrir les yeux, voir si les autres étaient toujours vivants, j’angoissais. Qu’allais-je découvrir ?
Mes yeux s’ouvrirent sur un spectacle désolant . Le sang, le sang était partout, il se mélangeait à la pluie torrentielle et meurtrière. Mes camarades de malchance étaient pour la plupart en vie, d’autres gisaient sans vie, dans des positions impossibles lorsque le corps est entier. J’imaginais les colonnes brisées, les têtes tranchées par les débris de verre, les membres se tordant dans tous les sens.
Le chauffeur n’était plus dans le bus, il devait sûrement être à des mètres de là, dehors, écrasé sur une pierre aiguisée…
J’ai mal à la tête, je me sens partir ailleurs, mais qui va appeler les secours ? Qui sera assez en forme et qui sait où nous sommes ? Que faire ? Est-ce que mon portable marche toujours ? Avons-nous une chance ?
Des sonneries me percent les tympans et alourdissent ma tête. Je ne vois plus rien, je n’entends plus rien, tout est si dur, si silencieux.
Des voitures s’arrêtent et d’autres sonneries les rejoignent. Je sens qu’on me porte. Depuis combien de temps sommes nous là ? On me parle mais je ne sais pas ce qu’on me dit. Pourquoi tout est flou et embrouillé ? Je ne tiens plus. Le vide total…
J’ai eu un accident il n’y a pas longtemps. Depuis ceci, je peux voir les âmes, les fantômes et les anges…
PROLOGUE
C’était un matin pluvieux, je devais partir pour mon école, comme tous les matins. Le bus devait nous emmener comme à chaque fois, au parking du lycée. Le problème est que cette fois-ci, notre destination finale ne fut pas notre établissement mais le fond d’un ravin.
Malgré les années de conduite, le chauffeur ne put retenir son bus sur la route glissante. Je me rappelle encore et j’entends encore les cris horrifiés que nous avons tous poussés lorsque nous avons senti que le véhicule glissait et se dirigeait avec force vers le trou bordé d’herbes.
Je fermai les yeux, attendant la fin. Il y eut un grand bruit et nous tombions, tête la première dans le petit gouffre. Le verre cassé nous recouvrait, nous ne devions pas trop bouger pour ne pas nous couper. Je me souviens de l’atmosphère…
Il n’y avait pas un bruit. Ni la pluie, ni les cris ni même des respirations ne se faisaient entendre. J’avais l’impression que tout était mort. Je me savais en vie mais dans quel état ? Le sang coulait sur mon visage.
Je devais ouvrir les yeux, voir si les autres étaient toujours vivants, j’angoissais. Qu’allais-je découvrir ?
Mes yeux s’ouvrirent sur un spectacle désolant . Le sang, le sang était partout, il se mélangeait à la pluie torrentielle et meurtrière. Mes camarades de malchance étaient pour la plupart en vie, d’autres gisaient sans vie, dans des positions impossibles lorsque le corps est entier. J’imaginais les colonnes brisées, les têtes tranchées par les débris de verre, les membres se tordant dans tous les sens.
Le chauffeur n’était plus dans le bus, il devait sûrement être à des mètres de là, dehors, écrasé sur une pierre aiguisée…
J’ai mal à la tête, je me sens partir ailleurs, mais qui va appeler les secours ? Qui sera assez en forme et qui sait où nous sommes ? Que faire ? Est-ce que mon portable marche toujours ? Avons-nous une chance ?
Des sonneries me percent les tympans et alourdissent ma tête. Je ne vois plus rien, je n’entends plus rien, tout est si dur, si silencieux.
Des voitures s’arrêtent et d’autres sonneries les rejoignent. Je sens qu’on me porte. Depuis combien de temps sommes nous là ? On me parle mais je ne sais pas ce qu’on me dit. Pourquoi tout est flou et embrouillé ? Je ne tiens plus. Le vide total…
Libellés : mes écrits
2 Comments:
Yatta ! Ureshi !
Tu vas la continuer alors ? Comme ça, je vais pouvoir la relire.
Gambatte nee ?
Kisu ma belle et bon courage pour la suite ! ^^
Ohhh deux histoires,chouette,j'aimerai bien les lires sur papier lorsque tu pourras me les prêter^^.J'espère que ton week end à été merveilleux et que tu en ai profité à max.
Ma première journée à la fac pour le prologue c'est bien passée.
Gros bisous à toi petite lady shinigami,je t'adore.
Niala
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