Ecriture
Bonjour à tous. Cet après-midi fut dédié à l’écriture sur l’ordinateur après une bonne séance de ménage et de rangement dans ma chambre et dans le salon. Je suis contente car je viens de finir la réécriture de ma fic sur le seigneur des anneaux et je vais donc pouvoir gâter ma lectrice atitrée durant ces vacances avec le reste des chapitres qui terminent mon histoire.
Ensuite, le texte qui suit a été écrit le mercredi 10 janvier en CM. Mais ne vous attendez plus à des fics écrites en CM car les deux que j’ai au deuxième semestre sont bien trop intéressants pour faire autre chose à côté ^^ Hihi, vive l’Histoire de la Langue et l’Histoire Littéraire. Ses deux matières me motivent pour réussir mon semestre et ainsi valider mon année. Vip, il me manque 0.75 points de moyenne donc il va falloir mettre le paquet. Et puis je veux avoir plus que la note minimale ! Lady Shinigami est de retour et prête à tout casser.
Un bruit mat. La porte se ferme. La clé tourne dans la serrure. La liberté est pourvue d’aile comme cette clé en argent. Qui s’en va. La vie se dinit bientôt à travers ces quatre murs angoissants. Il reste quelques minutes avant la fin.
Avant, les jours étaient comptés maintenant ce sont les secondes. Avant la peur était présente et maintenant elle fait place au soulagement. Avant les cris, les pleurs, et là le silence.
Une odeur légère et discrète s’engouffre dans la pièce confinée. Les sens ne la perçoivent pas. Mais ils deviennent de plus en plus difficiles à solliciter.
La forme immobile dessert peu à peu le smuscles. Il perd de plus en plus la force qui les faisait tenir et réagier. Le parfum invisible s’insinue comme des fourmis. Si rapides qu’elles endorment les sensations. La vue se brouille, les cheveux se perdent. Les paupières se ferment, l’esprit se vide et les souvenirs s’envolent dans l’espace confiné. Ils ne peuvent revenir car ils disparaissent avant de toucher les murs.
Et tout d’un coup, sans bruit, la tête se baisse en même temps que les doigts.
L’odeur est évacuée. On entre. Les liens desserrés laissent lâchement tomber le corps contre le sol froid. Il est ramassé comme un vulgaire morceau de viande. Sans vie. Rouge et prêt à rôtir.
Sans être enveloppé, le corps est emmené dans un autre bâtiment. Sunr une masse il est jeté.
Un liquide est répandu qui les font briller. Un homme entre et craque une allumette. Le feu apparaît au bout et il vint lécher les pieds et les bras dispersés sur cette masse.
La chaleur prend le dessus sur l’odeur nauséabonde des chairs pourries. Mais une autre prend le pas. La peau carbonisée, associée à l’odeur de la mort, monte au plafond et met sa couleur noire sur l’ancienne couche de la veille. Un trou dans le mur accueille une partie de la fumée qui, libre, va goûter à l’air pur des champs d’été alentours.
Il devient de plus en plus difficile de reconnaître les membres et le nombre de cadavres. Les derniers crépitements se font voir et entendre.
Il ne reste plus que des cendres dans l’âtre encore chaud. Les hommes et les femmes ont quitté cet enfer grâce au trou dans le mur. Ils sont allés recouvrir les terres de la liberté nouvellement acquise. Le soleil illumine de ses derniers rayons les particules de vies cachées.
Ensuite, le texte qui suit a été écrit le mercredi 10 janvier en CM. Mais ne vous attendez plus à des fics écrites en CM car les deux que j’ai au deuxième semestre sont bien trop intéressants pour faire autre chose à côté ^^ Hihi, vive l’Histoire de la Langue et l’Histoire Littéraire. Ses deux matières me motivent pour réussir mon semestre et ainsi valider mon année. Vip, il me manque 0.75 points de moyenne donc il va falloir mettre le paquet. Et puis je veux avoir plus que la note minimale ! Lady Shinigami est de retour et prête à tout casser.
Un bruit mat. La porte se ferme. La clé tourne dans la serrure. La liberté est pourvue d’aile comme cette clé en argent. Qui s’en va. La vie se dinit bientôt à travers ces quatre murs angoissants. Il reste quelques minutes avant la fin.
Avant, les jours étaient comptés maintenant ce sont les secondes. Avant la peur était présente et maintenant elle fait place au soulagement. Avant les cris, les pleurs, et là le silence.
Une odeur légère et discrète s’engouffre dans la pièce confinée. Les sens ne la perçoivent pas. Mais ils deviennent de plus en plus difficiles à solliciter.
La forme immobile dessert peu à peu le smuscles. Il perd de plus en plus la force qui les faisait tenir et réagier. Le parfum invisible s’insinue comme des fourmis. Si rapides qu’elles endorment les sensations. La vue se brouille, les cheveux se perdent. Les paupières se ferment, l’esprit se vide et les souvenirs s’envolent dans l’espace confiné. Ils ne peuvent revenir car ils disparaissent avant de toucher les murs.
Et tout d’un coup, sans bruit, la tête se baisse en même temps que les doigts.
L’odeur est évacuée. On entre. Les liens desserrés laissent lâchement tomber le corps contre le sol froid. Il est ramassé comme un vulgaire morceau de viande. Sans vie. Rouge et prêt à rôtir.
Sans être enveloppé, le corps est emmené dans un autre bâtiment. Sunr une masse il est jeté.
Un liquide est répandu qui les font briller. Un homme entre et craque une allumette. Le feu apparaît au bout et il vint lécher les pieds et les bras dispersés sur cette masse.
La chaleur prend le dessus sur l’odeur nauséabonde des chairs pourries. Mais une autre prend le pas. La peau carbonisée, associée à l’odeur de la mort, monte au plafond et met sa couleur noire sur l’ancienne couche de la veille. Un trou dans le mur accueille une partie de la fumée qui, libre, va goûter à l’air pur des champs d’été alentours.
Il devient de plus en plus difficile de reconnaître les membres et le nombre de cadavres. Les derniers crépitements se font voir et entendre.
Il ne reste plus que des cendres dans l’âtre encore chaud. Les hommes et les femmes ont quitté cet enfer grâce au trou dans le mur. Ils sont allés recouvrir les terres de la liberté nouvellement acquise. Le soleil illumine de ses derniers rayons les particules de vies cachées.
Libellés : mes écrits
2 Comments:
J'ai l'honneur d'écrire le premier commentaire de ton article.Je trouve que cette fin et très bien écrite,note à la fois pesante et angoissante,brr,ça donne froid dans le dos et ça me donne la chair de poule,jeje.Je suis contente qu'il ne te manques pas beaucoup pour réussir ton semestre et valider ton année.Je voudrais venir te voir chez toi,pour le moment je ne sais pas quand car je suis sur ma philo depuis mardi et je n'ai toujours pas fini :( bouu.J'espère que ta maman va bien.Pour ce qui est de l'anniversaire tu n'as pas rêvée,on le fête ensemble avec la spia,jeje,et romain y est convié.Pour le moment je ne sais pas si on le fêtera chez moi ou bien on ira manger au restaurant(mais je pense que la première option serai a préconiser).
Bonne soirée à toi ma puce et courage pour tout.
Ta niala qui t'aime beaucoup.
euh... toi aussi tu fais des fautes d'inattention... :p
ton histoire est sacrément morbide dis donc ! ça fait bizarre de la lire... je sais même pas comment expliquer ça... lol
bisous ma belle !
Enregistrer un commentaire
<< Home